Encore une fois, je suis sous le charme, comblée, émue. Comme avec tous les autres livres de Philippe Claudel, j'ai tourné les pages La petite fille de Monsieur Linh avec délectation et admiration. L'histoire de ce vieillard probablement vietnamien et de sa petite fille, réfugiés dans un pays dont on ne connaîtra jamais le nom (comme bien d'autres choses d'ailleurs), m'a remuée. Pour sa vibrante humanité, pour ses thèmes qu'on devine plus qu'ils ne sont décrits. Même si parfois l'écriture est presque trop belle...
mardi 29 juin 2010
Deux lectures, mille sentiments
La petite fille de Monsieur Linh
Encore une fois, je suis sous le charme, comblée, émue. Comme avec tous les autres livres de Philippe Claudel, j'ai tourné les pages La petite fille de Monsieur Linh avec délectation et admiration. L'histoire de ce vieillard probablement vietnamien et de sa petite fille, réfugiés dans un pays dont on ne connaîtra jamais le nom (comme bien d'autres choses d'ailleurs), m'a remuée. Pour sa vibrante humanité, pour ses thèmes qu'on devine plus qu'ils ne sont décrits. Même si parfois l'écriture est presque trop belle...
Encore une fois, je suis sous le charme, comblée, émue. Comme avec tous les autres livres de Philippe Claudel, j'ai tourné les pages La petite fille de Monsieur Linh avec délectation et admiration. L'histoire de ce vieillard probablement vietnamien et de sa petite fille, réfugiés dans un pays dont on ne connaîtra jamais le nom (comme bien d'autres choses d'ailleurs), m'a remuée. Pour sa vibrante humanité, pour ses thèmes qu'on devine plus qu'ils ne sont décrits. Même si parfois l'écriture est presque trop belle...
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